Véro se lance dans la mode à petit prix
Véronique Cloutier lance une collection de vêtements pour femmes. Les 43 premiers morceaux de la ligne sont offerts à moins de 30 $ en exclusivité à L’Aubainerie. Un seul mot d’ordre: accessibilité.
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| crédit photo journalmetro.com |
Véronique Cloutier a présenté hier les premiers morceaux de sa ligne de vêtements. Dessinés par Chloé Mérineau de Jcopr, ceux-ci se veulent «classiques» et «simples». Une collection printemps-été 2011 est déjà en chantier.
C’était un secret bien gardé. Véronique Cloutier a lancé mercredi soir sa première collection de vêtements. Simplement nommée Véro, la ligne débarque aujourd’hui dans les 56 magasins L’Aubainerie de la province. Oubliez les robes de gala ou les ensembles griffés que l’animatrice étrenne chaque mercredi aux Enfants de la télé, les 43 morceaux de la collection ressembleront beaucoup plus aux fringues que l’étoile du petit écran porte lorsque les projecteurs ne sont pas braqués sur elle. On parle de chemisiers, de t-shirts, de vestes pratiques, de jeans et de pantalons à moins de 30 $ Une garde-robe dite «accessible», à l’image de la vedette. «Je vais peut-être sonner comme La poune, mais je fais ce métier-là pour être proche du monde, indique-t-elle.
J’ai toujours fait des émissions dont le concept était grand public, qu’elles aient marché ou pas en cotes d’écoute. Je ne suis pas très à gauche, je ne suis pas très intello. Je fais de la radio à Rythme FM. Donc, pour moi, cette nouvelle aventure s’inscrit dans la lignée de ce que je fais.» C’est Alexandre Robert, président de la division Québec du manufacturier de vêtements JCorp, et la designer Chloé Mérineau qui ont approché Véronique Cloutier à l’hiver 2009. «Véro est l’emblème de la femme québécoise : elle a une carrière, une famille et des valeurs, soutient Chloé Mérineau, qui signe aussi une collection de vêtements sport Bruny Surin, en vente à L’Aubainerie.
De son propre aveu, Véronique Cloutier ne savait pas grand-chose du milieu de la mode avant d’accepter l’offre de JCorp. Mais après avoir passé les 20 derniers mois à travailler avec Chloé Mérineau, elle en connaît un rayon sur le sujet. Chez L’Aubainerie, on mise sur la popularité de l’animatrice pour assurer le succès de la collection, qui s’adresse aux femmes de tout âge et de tout tour de taille (les grandeurs varient de X small à XXL). «Elle a un grand capital de sympathie», dit Norman Décarie, PDG de l’entreprise. Si Véronique est l’image de la collection, elle ne sera pas nécessairement au cœur de toutes les campagnes promotionnelles.
«Si tu n’es pas un fan de l’animatrice, mais que tu le trouves beau, le chandail, il faut que ça te tente de l’acheter quand même, il ne faut pas que mon image t’empêche de repartir avec, explique- t-elle. Ça ne s’adresse pas uniquement à mon fan-club!» Véronique Cloutier fonde beaucoup d’espoir sur sa ligne de vêtements, qu’elle souhaite voir grandir au fil du temps.
«Il faut se donner une couple de collections pour voir si ça marche. Il ne faut pas penser que, demain, le sort va être joué, précise-t-elle. Mais si ça va bien, je pourrais éventuellement faire autre chose, comme du linge pour enfants. J’en ai trois, je suis bien placée! Je pourrais aussi faire de la lingerie, des maillots de bain, des manteaux, des sacs à main, des lunettes soleil, des bijoux...» La question qui tue : Véro portera-t-elle ses créations à la télévision? «Ce sont des vêtements qui se portent bien dans un bureau, mais ça n’a pas la touche en plus pour faire une émission de soirée plus habillée», répond-elle.
J’ai toujours fait des émissions dont le concept était grand public, qu’elles aient marché ou pas en cotes d’écoute. Je ne suis pas très à gauche, je ne suis pas très intello. Je fais de la radio à Rythme FM. Donc, pour moi, cette nouvelle aventure s’inscrit dans la lignée de ce que je fais.» C’est Alexandre Robert, président de la division Québec du manufacturier de vêtements JCorp, et la designer Chloé Mérineau qui ont approché Véronique Cloutier à l’hiver 2009. «Véro est l’emblème de la femme québécoise : elle a une carrière, une famille et des valeurs, soutient Chloé Mérineau, qui signe aussi une collection de vêtements sport Bruny Surin, en vente à L’Aubainerie.
De son propre aveu, Véronique Cloutier ne savait pas grand-chose du milieu de la mode avant d’accepter l’offre de JCorp. Mais après avoir passé les 20 derniers mois à travailler avec Chloé Mérineau, elle en connaît un rayon sur le sujet. Chez L’Aubainerie, on mise sur la popularité de l’animatrice pour assurer le succès de la collection, qui s’adresse aux femmes de tout âge et de tout tour de taille (les grandeurs varient de X small à XXL). «Elle a un grand capital de sympathie», dit Norman Décarie, PDG de l’entreprise. Si Véronique est l’image de la collection, elle ne sera pas nécessairement au cœur de toutes les campagnes promotionnelles.
«Si tu n’es pas un fan de l’animatrice, mais que tu le trouves beau, le chandail, il faut que ça te tente de l’acheter quand même, il ne faut pas que mon image t’empêche de repartir avec, explique- t-elle. Ça ne s’adresse pas uniquement à mon fan-club!» Véronique Cloutier fonde beaucoup d’espoir sur sa ligne de vêtements, qu’elle souhaite voir grandir au fil du temps.
«Il faut se donner une couple de collections pour voir si ça marche. Il ne faut pas penser que, demain, le sort va être joué, précise-t-elle. Mais si ça va bien, je pourrais éventuellement faire autre chose, comme du linge pour enfants. J’en ai trois, je suis bien placée! Je pourrais aussi faire de la lingerie, des maillots de bain, des manteaux, des sacs à main, des lunettes soleil, des bijoux...» La question qui tue : Véro portera-t-elle ses créations à la télévision? «Ce sont des vêtements qui se portent bien dans un bureau, mais ça n’a pas la touche en plus pour faire une émission de soirée plus habillée», répond-elle.
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