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crédit photo journalmetro.com |
À la découverte de la Slovaquie
Depuis que la Slovaquie a obtenu son indépendance il y a 17 ans, sa capitale, Bratislava, est devenue une destination touristique prisée.
Pourquoi y aller maintenant?
Parce que Bratislava est l’une des dernières villes européennes où l’on peut vraiment en avoir pour son argent. Bien que les Slovaques aient adopté l’euro en 2008, on est agréablement surpris par les prix chaque fois qu’on s’arrête dans un resto.
C’est la première fois que j’y vais, qu’est-ce que je dois voir?
Familiarisez-vous simplement avec le mélange éclectique de cultures et de styles architecturaux qui caractérise Bratislava. Le centre de la ville est bourré de façades de type rococo, Renaissance, baroque et classique, jouxtant des bâtiments qui révèlent toute la brutalité de l’urbanisme soviétique. Ne manquez surtout pas le château de Bratislava, érigé sur le piémont des Carpates. Ce joyau du XVe siècle est la gloire de la cité.
J’y suis déjà allé, que devrais-je voir cette fois?
Allez faire un tour à la «Tour ovni», comme l’appellent les Bratislaviens. Il s’agit d’une construction de 85 m de haut qui se dresse sur les berges du Danube et qui est devenue, curieusement, une attraction de cette ville ancienne. Contrastant avec les réalisations baroques et bohèmes de Bratislava, cette curiosité composée de trois piliers coiffés d’une sorte de soucoupe volante abritant un restaurant panoramique évoque une araignée grêle. Elle est un exemple du style qui a prévalu durant l’ère soviétique. Dirigez-vous vers la terrasse d’observation, puis offrez-vous un cocktail dans le bar rétro du restaurant.
Où puis-je magasiner?
Magasiner à Bratislava n’est pas une expérience de type, disons, international, mais ça ne coûte pas cher! Essayez les petites rues de la vieille ville si vous êtes amateur d’antiquités, et les boutiques des rues Palackeho et Obchodna si vous cherchez des bibelots et des souvenirs. Le meilleur endroit pour l’artisanat est l’ULUV (Centre de production d’art traditionnel), où l’on trouve des costumes traditionnels, des broderies, des tissus de laine et de lin, des gravures, des peintures sur verre et des jouets en bois.
Et la vie nocturne?
Bratislava compte de nombreux cafés de style viennois, ce qui permet, par exemple, de passer le début de la soirée à siroter agréablement une bière en regardant les passants déambuler. Par la suite, on peut se diriger vers un pub ou un club animé de la rue Namestie SNP. En fin de soirée, goûtez à un loksa, sorte de grosse galette de pommes de terre vendue dans la rue, en dégustant une bière locale, la Gorgon. Vous verrez probablement de nombreux enterrements de vie de garçon. Les joyeux lurons qui y prennent part viennent de toute l’Europe.
Où puis-je loger?
Il est possible de se dénicher un hôtel pour aussi peu que 9 € (12,50 $) la nuit! Avec des prix aussi intéressants, rien ne vous empêche de vous offrir un peu plus de luxe. Vous pouvez aussi vous louer un appartement, par exemple au Apartment Presidential Palace, au 4, rue Lermontovova. Le bâtiment est à proximité de la plupart des attractions du centre-ville, et les appartements sont joliment décorés.
Parce que Bratislava est l’une des dernières villes européennes où l’on peut vraiment en avoir pour son argent. Bien que les Slovaques aient adopté l’euro en 2008, on est agréablement surpris par les prix chaque fois qu’on s’arrête dans un resto.
C’est la première fois que j’y vais, qu’est-ce que je dois voir?
Familiarisez-vous simplement avec le mélange éclectique de cultures et de styles architecturaux qui caractérise Bratislava. Le centre de la ville est bourré de façades de type rococo, Renaissance, baroque et classique, jouxtant des bâtiments qui révèlent toute la brutalité de l’urbanisme soviétique. Ne manquez surtout pas le château de Bratislava, érigé sur le piémont des Carpates. Ce joyau du XVe siècle est la gloire de la cité.
J’y suis déjà allé, que devrais-je voir cette fois?
Allez faire un tour à la «Tour ovni», comme l’appellent les Bratislaviens. Il s’agit d’une construction de 85 m de haut qui se dresse sur les berges du Danube et qui est devenue, curieusement, une attraction de cette ville ancienne. Contrastant avec les réalisations baroques et bohèmes de Bratislava, cette curiosité composée de trois piliers coiffés d’une sorte de soucoupe volante abritant un restaurant panoramique évoque une araignée grêle. Elle est un exemple du style qui a prévalu durant l’ère soviétique. Dirigez-vous vers la terrasse d’observation, puis offrez-vous un cocktail dans le bar rétro du restaurant.
Où puis-je magasiner?
Magasiner à Bratislava n’est pas une expérience de type, disons, international, mais ça ne coûte pas cher! Essayez les petites rues de la vieille ville si vous êtes amateur d’antiquités, et les boutiques des rues Palackeho et Obchodna si vous cherchez des bibelots et des souvenirs. Le meilleur endroit pour l’artisanat est l’ULUV (Centre de production d’art traditionnel), où l’on trouve des costumes traditionnels, des broderies, des tissus de laine et de lin, des gravures, des peintures sur verre et des jouets en bois.
Et la vie nocturne?
Bratislava compte de nombreux cafés de style viennois, ce qui permet, par exemple, de passer le début de la soirée à siroter agréablement une bière en regardant les passants déambuler. Par la suite, on peut se diriger vers un pub ou un club animé de la rue Namestie SNP. En fin de soirée, goûtez à un loksa, sorte de grosse galette de pommes de terre vendue dans la rue, en dégustant une bière locale, la Gorgon. Vous verrez probablement de nombreux enterrements de vie de garçon. Les joyeux lurons qui y prennent part viennent de toute l’Europe.
Où puis-je loger?
Il est possible de se dénicher un hôtel pour aussi peu que 9 € (12,50 $) la nuit! Avec des prix aussi intéressants, rien ne vous empêche de vous offrir un peu plus de luxe. Vous pouvez aussi vous louer un appartement, par exemple au Apartment Presidential Palace, au 4, rue Lermontovova. Le bâtiment est à proximité de la plupart des attractions du centre-ville, et les appartements sont joliment décorés.
PAUL BALDWIN
METRO WORLD NEWS
Publié: 02 novembre 2010
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